Lors de leur entretien, les deux responsables ont échangé sur les différents aspects des relations maroco-américaines et des moyens de les renforcer. Le Wali de la région Dakhla-Oued Eddahab, Gouverneur de la province d’Oued Eddahab, M. Lamine Benomar et les présidents des conseils élus, ont également pris part à cette réunion.

A cette occasion, M. Nasser Bourita a mis l’accent sur le caractère historique de la visite de M. Schenker à Dakhla qui est le premier Haut Responsable américain à visiter le Sahara marocain. « Cet événement important concrétise les résultats de l'appel téléphonique entre Sa Majesté le Roi Mohammed VI et le Président américain Trump, le 10 décembre », a ajouté le ministre.

Pour sa part, M. Schenker s’est félicité de l’excellence des relations entre nos deux pays qui connaissent un développement sans précédent grâce à la vision clairvoyante de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Que Dieu L’assiste. Le responsable américain a aussi salué le Leadership de Sa Majesté et Son soutien précieux sur des questions d’intérêt commun telles que la paix au Moyen-Orient et la stabilité en Afrique.

Cette visite, qui intervient un mois seulement après l’entretien téléphonique de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Que Dieu L’assiste, avec le Président Donald Trump, le 10 décembre dernier, était également l’occasion pour M. Schenker et l’Ambassadeur américain au Maroc, M. David Fischer de découvrir les locaux qui pourraient abriter le Consulat Général des Etats-Unis à Dakhla. 

A l’issue de la visite des locaux, M. Fischer a souligné, lors d’un point de presse que « le processus d’ouverture d’un nouveau consulat n’est pas celui que nous prenons à la légère », notant que Dakhla bénéficiera du même traitement que Casablanca « où nous faisons des investissements importants pour construire un nouveau consulat magnifique, à la hauteur de la grandeur de cette ville ».

L’Ambassadeur américain a également exprimé ses remerciements à Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Que Dieu L’assiste, « dont le ferme dévouement à l’amitié américano-marocaine était essentiel pour rendre cette visite possible ».